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La Possession

 

 

 La Possession, c'est un peu la mémoire de la Réunion. Le souvenir du passé de l'Île Bourbon. C'est ici qu'abordèrent les navires du Roy de France. Enclavée entre Saint-Denis et Saint-Paul, la Possession n'est bien souvent qu'un lieu de passage. Considérée comme une ville dortoire, elle représente un lieu de résidence paisible pour les travailleurs de l'Ouest et du Nord. Certains sites pittoresques sont à découvrir aux termes de randonnées pas toujours évidentes comme pour aller à Mafate ou à la Roche écrite.


 

La Possession

La Possession

Superficie : 11822 hectares
Population: 21904 habitants

 

 

Saint-Benoit

Eglise de Sainte Anne Jadis, Saint-Benoît était le terminus du chemin de fer réunionnais. Aujourd'hui, c'est la capitale économique de l'Est. Une médiathèque, un théâtre (Le Bambou), un festival de jazz, un autre de courts-métrages en font aussi la capitale culturelle. Le centre-ville, traversé par la rivière des Marsouins, est un peu bétonné. Saint-Benoît, souvent taxé de région trop humide et pluvieuse, est l'un des points d'entrée vers les hautes plaines (la Plaine des Palmistes est à 20 kms). Possibilité entre décembre et mars, de faire du rafting, de l'hydro-speed et du canyonning, notamment sur la rivière des Marsouins et le site de Takamaka.

 
Saint-Benoit

Front de mer de Saint-Benoît

 

 

SAINT DENIS

La capitale de l’île, située au nord, est le réel pôle commercial, administratif et politique de La Réunion. Elle offre des joyaux d’architecture créole, parsemées dans son centre ville, aux détours des rues commerçantes. Elle mélange tradition et modernité, même si ces cases lontan sont pour un certain nombre en ruine. Mais le charme n’en demeure pas moins exceptionnel. En revanche, la ville est saturée par les bouchons quasi incessants à ses portes comme à l’intérieur. La commune compte également une très grande population qui fait d’elle la plus grande ville d’Outre mer.
C’est Saint Denis qui possède le plus grand nombre d’entreprises de La Réunion, ce qui lui permet d’avoir un taux de chômage relativement bas comparé au reste des communes de l’île. De nombreuses zones d’activité toujours plus à l’écart de la ville témoignent de son extension. La commune répond donc toujours aux attentes d’une volonté économique en plein essor.
D’un point de vue développement touristique, la commune devrait lancer ces prochaines années la création d’un pôle nautique en créant une plage artificielle au niveau du Barachois.
 
 

 

 

 

Le Piton des Neiges est le plus haut sommet de l'île de la Réunion et de l'océan Indien. Il culmine à 3070,50 mètres d'altitude et présente un diamètre de base d'environ cinquante kilomètres.

L'activité de ce volcan aurait commencé il y a cinq millions d'années ; il émergea de l'océan Indien il y a 2,1 millions d'années pour donner naissance à l'île de la Réunion. Ce volcan bouclier érodé n'est aujourd'hui plus en activité depuis plus de 12 000 ans.

Le sommet du Piton des Neiges vu d'une centaine de mètres

Le sommet du Piton des Neiges vu d'une centaine de mètres

 

Le Piton des Neiges vu depuis le cirque de Cilaos.

Le Piton des Neiges vu depuis le cirque de Cilaos.



LE PITON DE LA FOURNAISE

 

Le piton de la Fournaise, qui culmine à 2 631 mètres, est le volcan actif de l'île de La Réunion. Il correspond au sommet et au flanc oriental du massif du Piton de la Fournaise, un volcan bouclier qui constitue 40 % de l'île dans sa partie sud-est.

Le piton de la Fournaise compte, avec le Kilauea, l'Etna ou le Stromboli, parmi les volcans les plus actifs de la planète. Depuis 1998, une ou plusieurs éruptions surviennent chaque année. Il est parfois possible d'aller observer sur place les projections et les coulées de lave.

 

SAINT-LEU

face à la mer Saint-Leu, une commune où le tourisme a de beaux jours devant elle. On y trouve tous les ingrédients du succès : une jolie plage, un port de pêche, des activités à vous couper le souffle (parapente, plongée, surf) et quelques excursions intéressantes (Centre de découverte des Tortue, Musée Stella Matutina...). Depuis peu, tout le front de mer a été réaménagé et est devenu un lieu de pique nique chaque week-end. Les rondavelles sous les filaos sont un lieu idéal pour admirer les couchers de soleil et les derniers surfeurs.

 
Saint-Leu
 
 

la baie de Saint-Leu

 

 

 

ETANG-SALE

HISTORIQUE
Flacourt, dès 1652, découvre un petit étang, en bord de mer, non loin des Avirons, une étendue d'eau remplie par l'océan lors des fortes marées, se tarissant progressivement au rythme des saisons. 
Très salé, il donna son nom à la localité dont les premiers colons s'installèrent à la Ravine Sèche au début du XVIIIème siècle.
Lorsque la colonisation s'est étendue aux terres du sud, celle-ci ne s'est pas arrêtée au littoral, balayé par les alizés, soulevant le sable et tuant les plantations de café de l'époque. C'est pourquoi, les concessions furent accordées plutôt dans les Hauts, à l'abri de cette poussière de lave et de corail assassine. 
Pourtant, en bordure d'océan, quelques familles se fixent, vivant de pêche, de la cueillette des fruits et des patates à Durand plantées un peu partout dans le but de fixer la dune. Les premiers habitants, conscients de l'importance du transport maritime et de la pêche construisirent un port, l'un des plus vieux de l'île, aujourd'hui réaménagé. En attendant, au début du XIX ème siècle, 4 ou 5 maisons composent le village de l'Étang-Salé-les-Bains qui semble ne pas pouvoir plus se développer. 
En 1874, le peu de propriétaires habitant la zone, tous en front de mer, sont expropriés et expulsés, les constructions étant toutes établies dans la limite des "50 pas du Roy" règle alors strictement respectée... 
A leur place, l'administration des Eaux et forêts planta des filaos, mais désireuse de ne pas léser les anciens occupants, leur octroie la location des terrains et le bénéfice du ramassage des brindilles, du fourrage et du bois mort. 

 



Étang-Salé-les-Bains, 

la belle sur la dune...

A quelques minutes seulement de Saint-Louis, la commune de l'Étang-Salé-les-Bains bénéficie d'une situation géographique exceptionnelle, profitant des plaisirs du littoral et de la clémence du climat......

Etang-Salé les Bains

 

 

SAINT-PIERRE

Avant 1700, le Sud fut d’abord un « quartier réservé » interdit à la colonisation, avant de susciter des possédants-terriens puis de futurs industriels. La colonisation et le peuplement de Saint-Pierre ainsi que  de sa région sont liés à la culture du caféier et à la production de café destiné au marché français. Le café puis la canne firent d’elle une des régions les plus prospères de l’île. L’agriculture et l’industrie sucrière firent la fortune de Saint -Pierre comme celle de quelques grandes familles. Dès 1720 de Saint-Paul, se fait une percée à travers bois, jusqu’à la rivière d’Abord. Tout ce que comprenait de gens dynamiques se précipite vers cette nouvelle région et dès 1727, tout le village d’Abord est morcelé. En 1730, les habitants de d’Abord réclament une église pour leur service. Devant leur insistance, la construction d’une chapelle est décidée sur la rive gauche de la Ravine Blanche. Elle prend le nom de Saint-Pierre, l’un des  prénoms du gouverneur de l’époque  Pierre-Benoist Dumas. Ouverte le 7 janvier 1932, elle sera desservie par l’abbé Carré, officiant aussi à Saint Louis.  Ce dernier deviendra Curé de Saint-Pierre en 1737. Le 11 mars 1732, le gouverneur Dumas donne l’ordre à Choppy-Desgranges, commandant  de dresser le plan de la ville qui formait un damier mais qui resta dans les cartons jusqu’en 1935, date de l’arrivée du gouverneur Mahé de Labourdonnais. A cette époque le quartier d’Abord était un vaste plateau boisé privé d’eau. Malgré ce manque d’eau et la sécheresse, les terres reconnues excellentes, furent concédées, et la partie basse couverte de caféiers. Quelques constructions s’élevèrent et certains bâtiments étaient percés de meurtrières pour parer aux attaques des forbans et des noirs marrons.

Le 16 avril 1736, Gabriel Dejean, Secrétaire du Conseil Supérieur fait planter une grosse roche marqué d’une croix et d’un A, d’où il trace la rue du Commerce (rue Auguste Babet), le long de la rivière jusqu’à la borne B éloignée de 300 gaulettes (1 500 m) de la borne. Puis de A, en allant à la Ravine Blanche, il ouvre une ligne de 448 gaulettes (2 290 m) la rue du Four à Chaux qui s’arrête à 110 pieds de la Ravine Blanche. Des rues de 30 pieds de large (10m) sont ouvertes.  Les rues parallèles à la rue du Four à Chaux sont distantes de 50 gaulettes (250m)  et les rue parallèles à la rue du Commerce (Auguste Babet) de 25 gaulettes.


 

La mairie
La mairie

Le 8 septembre 1736, le gouverneur Labourdonnais confirme officiellement en Conseil la création du quartier de Saint-Pierre. Gabriel Dejean, Secrétaire du Conseil Supérieur, est nommé Commandant de la nouvelle circonscription. Il préside à la naissance de la ville, lance la construction des magasins de la Compagnie (Hôtel de Ville actuel), du Vieux Gouverneur en même temps que des Marines  sont établies à côté du barachois, sur le petit bassin pour le transit des marchandises. En 1751, le site actuel de l’église de Saint-Pierre sera définitivement établi avec la donation de son terrain par Gabriel  Dejean, sur le bord de la Rivière d’Abord.. Le 1er août 1790 est crée la commune de Saint-Pierre. Elle est vaste, allant de la Rivière Saint-Etienne à celle des Remparts. En 1818, trois Saint-Pierrois, Frappier de Montbenoît, Augustin Motais se concertent pour mettre au point un projet de dérivation des eaux de la Rivière Saint-Etienne vers Saint-Pierre par un canal situé aux alentours de la cote100 (Bois d’Olive/Ligne Paradis). En 1825, le Canal Saint-Etienne, long de 17 kilomètres, apporte à la commune l’abondance d’eau qui lui manquait jusqu’alors pour son développement. Elle n’avait auparavant que la source de la Rivière d’Abord pour tout approvisionnement. En 1826, la commune compte 30 229 habitants, soit rien que moins que le tiers de la population totale de l’île.  Le plan le plus complet de la ville au milieu du 19ème siècle est celui de Louis Maillard (1857).


 

La première zone industrielle de Saint-Pierre est créé en 1970. Elle occupe un peu plus de dix hectares à Ravine Blanche.
 
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