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Top Autos Location
45 bis, route de la
Rivière des pluies
97490 Ste-Clotilde
A 2 minutes de
l'aéroport
Rolland Garros
RESERVATION
TEL: 02.62.28.92.55
8H-12H 14H-18H
GSM:06.92.64.45.93
GSM:06.92.02.40.40
FAX:02.62.51.72.39
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en vente a l'agence de top autos location. |
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La Possession
La Possession, c'est un peu la mémoire de la Réunion.
Le souvenir du passé de l'Île Bourbon. C'est ici qu'abordèrent les
navires du Roy de France. Enclavée entre Saint-Denis et Saint-Paul, la
Possession n'est bien souvent qu'un lieu de passage. Considérée comme
une ville dortoire, elle représente un lieu de résidence paisible pour
les travailleurs de l'Ouest et du Nord. Certains sites pittoresques sont
à découvrir aux termes de randonnées pas toujours évidentes comme pour
aller à Mafate ou à la Roche écrite.
Superficie : 11822 hectares
Population: 21904 habitants
Saint-Benoit
Jadis, Saint-Benoît était le terminus du chemin de fer
réunionnais. Aujourd'hui, c'est la capitale économique de l'Est. Une
médiathèque, un théâtre (Le Bambou), un festival de jazz, un autre de
courts-métrages en font aussi la capitale culturelle. Le centre-ville,
traversé par la rivière des Marsouins, est un peu bétonné. Saint-Benoît,
souvent taxé de région trop humide et pluvieuse, est l'un des points
d'entrée vers les hautes plaines (la Plaine des Palmistes est à 20 kms).
Possibilité entre décembre et mars, de faire du rafting, de l'hydro-speed
et du canyonning, notamment sur la rivière des Marsouins et le site de
Takamaka.
SAINT DENIS
La capitale
de l’île, située au nord, est le réel pôle commercial, administratif et
politique de La Réunion. Elle offre des joyaux d’architecture créole,
parsemées dans son centre ville, aux détours des rues commerçantes. Elle
mélange tradition et modernité, même si ces cases lontan sont pour un
certain nombre en ruine. Mais le charme n’en demeure pas moins exceptionnel.
En revanche, la ville est saturée par les bouchons quasi incessants à ses
portes comme à l’intérieur. La commune compte également une très grande
population qui fait d’elle la plus grande ville d’Outre mer.
C’est Saint Denis qui possède le plus grand nombre
d’entreprises de La Réunion, ce qui lui permet d’avoir un taux de
chômage relativement bas comparé au reste des communes de l’île. De
nombreuses zones d’activité toujours plus à l’écart de la ville
témoignent de son extension. La commune répond donc toujours aux
attentes d’une volonté économique en plein essor.
D’un point de vue développement touristique, la commune devrait lancer
ces prochaines années la création d’un pôle nautique en créant une plage
artificielle au niveau du Barachois.
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Le Piton des Neiges est le plus haut sommet de l'île de
la Réunion
et de l'océan
Indien. Il culmine à 3070,50 mètres d'altitude et présente un diamètre de
base d'environ cinquante kilomètres.
L'activité de ce volcan aurait commencé il y a cinq millions d'années ; il émergea de l'océan
Indien il y a 2,1 millions d'années pour donner naissance à l'île de la Réunion.
Ce volcan bouclier érodé n'est aujourd'hui plus en activité depuis plus de
12 000 ans.
Le sommet du Piton des Neiges vu d'une centaine
de mètres
Le Piton des Neiges vu depuis le cirque de Cilaos.
LE PITON DE LA FOURNAISE
Le piton de la Fournaise, qui culmine à
2 631 mètres, est le
volcan actif de
l'île de La Réunion.
Il correspond au sommet et au flanc oriental du
massif du Piton de la Fournaise, un
volcan bouclier qui constitue 40 % de l'île dans sa partie sud-est.
Le piton de la Fournaise compte, avec le
Kilauea, l'Etna
ou le
Stromboli, parmi les volcans les plus actifs de la planète. Depuis 1998, une ou
plusieurs éruptions surviennent chaque année. Il est parfois possible d'aller
observer sur place les projections et les coulées de lave.
SAINT-LEU
Saint-Leu, une commune où le tourisme a de beaux jours devant elle. On y
trouve tous les ingrédients du succès : une jolie plage, un port de
pêche, des activités à vous couper le souffle (parapente, plongée, surf)
et quelques excursions intéressantes (Centre de découverte des Tortue,
Musée Stella Matutina...). Depuis peu, tout le front de mer a été
réaménagé et est devenu un lieu de pique nique chaque week-end. Les
rondavelles sous les filaos sont un lieu idéal pour admirer les couchers
de soleil et les derniers surfeurs.
ETANG-SALE
HISTORIQUE
Flacourt, dès 1652, découvre un petit étang, en bord de mer, non loin
des Avirons, une étendue d'eau remplie par l'océan lors des fortes marées, se
tarissant progressivement au rythme des saisons.
Très salé, il donna son nom à la localité dont les premiers colons
s'installèrent à la Ravine Sèche au début du XVIIIème siècle.
Lorsque la colonisation s'est étendue aux terres du sud, celle-ci ne s'est pas
arrêtée au littoral, balayé par les alizés, soulevant le sable et tuant les
plantations de café de l'époque. C'est pourquoi, les concessions furent
accordées plutôt dans les Hauts, à l'abri de cette poussière de lave et de
corail assassine.
Pourtant, en bordure d'océan, quelques familles se fixent, vivant de pêche, de
la cueillette des fruits et des patates à Durand plantées un peu partout dans le
but de fixer la dune. Les premiers habitants, conscients de l'importance du
transport maritime et de la pêche construisirent un port, l'un des plus vieux de
l'île, aujourd'hui réaménagé. En attendant, au début du XIX ème siècle, 4 ou
5 maisons composent le village de l'Étang-Salé-les-Bains qui semble ne pas
pouvoir plus se développer.
En
1874, le peu de propriétaires habitant la zone, tous en front de mer, sont
expropriés et expulsés, les constructions étant toutes établies dans la limite
des "50 pas du Roy" règle alors strictement respectée...
A leur
place, l'administration des Eaux et forêts planta des filaos, mais désireuse de
ne pas léser les anciens occupants, leur octroie la location des terrains et le
bénéfice du ramassage des brindilles, du fourrage et du bois mort.
Étang-Salé-les-Bains,
la belle sur
la dune...
A quelques minutes seulement de Saint-Louis, la commune de
l'Étang-Salé-les-Bains bénéficie d'une situation géographique
exceptionnelle, profitant des plaisirs du littoral et de la clémence du
climat......
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SAINT-PIERRE
Avant 1700, le Sud fut d’abord un « quartier réservé » interdit à la
colonisation, avant de susciter des possédants-terriens puis de futurs
industriels. La colonisation et le peuplement de Saint-Pierre ainsi que de sa
région sont liés à la culture du caféier et à la production de café destiné au
marché français. Le café puis la canne firent d’elle une des régions les plus
prospères de l’île. L’agriculture et l’industrie sucrière firent la fortune de
Saint -Pierre comme celle de quelques grandes familles. Dès 1720 de Saint-Paul,
se fait une percée à travers bois, jusqu’à la rivière d’Abord. Tout ce que
comprenait de gens dynamiques se précipite vers cette nouvelle région et dès
1727, tout le village d’Abord est morcelé. En 1730, les habitants de d’Abord
réclament une église pour leur service. Devant leur insistance, la construction
d’une chapelle est décidée sur la rive gauche de la Ravine Blanche. Elle prend
le nom de Saint-Pierre, l’un des prénoms du gouverneur de l’époque
Pierre-Benoist Dumas. Ouverte le 7 janvier 1932, elle sera desservie par l’abbé
Carré, officiant aussi à Saint Louis. Ce dernier deviendra Curé de Saint-Pierre
en 1737. Le 11 mars 1732, le gouverneur Dumas donne l’ordre à Choppy-Desgranges,
commandant de dresser le plan de la ville qui formait un damier mais qui resta
dans les cartons jusqu’en 1935, date de l’arrivée du gouverneur Mahé de
Labourdonnais. A cette époque le quartier d’Abord était un vaste plateau boisé
privé d’eau. Malgré ce manque d’eau et la sécheresse, les terres reconnues
excellentes, furent concédées, et la partie basse couverte de caféiers. Quelques
constructions s’élevèrent et certains bâtiments étaient percés de meurtrières
pour parer aux attaques des forbans et des noirs marrons.
Le 16 avril 1736, Gabriel Dejean, Secrétaire du Conseil
Supérieur fait planter une grosse roche marqué d’une croix et d’un A, d’où
il trace la rue du Commerce (rue Auguste Babet), le long de la rivière
jusqu’à la borne B éloignée de 300 gaulettes (1 500 m) de la borne. Puis de
A, en allant à la Ravine Blanche, il ouvre une ligne de 448 gaulettes (2 290
m) la rue du Four à Chaux qui s’arrête à 110 pieds de la Ravine Blanche. Des
rues de 30 pieds de large (10m) sont ouvertes. Les rues parallèles à la rue
du Four à Chaux sont distantes de 50 gaulettes (250m) et les rue parallèles
à la rue du Commerce (Auguste Babet) de 25 gaulettes.
Le 8 septembre 1736, le gouverneur Labourdonnais confirme
officiellement en Conseil la création du quartier de Saint-Pierre.
Gabriel Dejean, Secrétaire du Conseil Supérieur, est nommé Commandant
de la nouvelle circonscription. Il préside à la naissance de la ville,
lance la construction des magasins de la Compagnie (Hôtel de Ville
actuel), du Vieux Gouverneur en même temps que des Marines sont
établies à côté du barachois, sur le petit bassin pour le transit des
marchandises. En 1751, le site actuel de l’église de Saint-Pierre sera
définitivement établi avec la donation de son terrain par Gabriel
Dejean, sur le bord de la Rivière d’Abord.. Le 1er août
1790 est crée la commune de Saint-Pierre. Elle est vaste, allant de la
Rivière Saint-Etienne à celle des Remparts. En 1818, trois
Saint-Pierrois, Frappier de Montbenoît, Augustin Motais se concertent
pour mettre au point un projet de dérivation des eaux de la Rivière
Saint-Etienne vers Saint-Pierre par un canal situé aux alentours de la
cote100 (Bois d’Olive/Ligne Paradis). En 1825, le Canal Saint-Etienne,
long de 17 kilomètres, apporte à la commune l’abondance d’eau qui lui
manquait jusqu’alors pour son développement. Elle n’avait auparavant
que la source de la Rivière d’Abord pour tout approvisionnement. En
1826, la commune compte 30 229 habitants, soit rien que moins que le
tiers de la population totale de l’île. Le plan le plus complet de la
ville au milieu du 19ème siècle est celui de Louis Maillard (1857).
La première zone industrielle de Saint-Pierre est
créé en 1970. Elle occupe un peu plus de dix hectares à Ravine
Blanche.
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